Poster sur Linkedin sans faire d’erreur

Poster sur Linkedin sans faire d’erreur sur le fond comme sur la forme, ça paraît simple. Pourtant, il convient de prendre divers paramètres en compte avant de cliquer sur le bouton « Publier ». En effet, LinkedIn est le réseau social professionnel par excellence. Bien loin devant les autres Viadéo et consort. Aussi, faire attention à des détails importants comme l’orthographe, la syntaxe et la conjugaison sera indispensable. Tandis que sur le fond, il faudra trouver le format adapté à son propos. Il conviendra aussi d’imager son propos. Tout en gardant en tête qu’un post a vocation à attirer l’attention, puis la garder. Pour mieux encore, pousser à l’action l’audience quand c’est l’objectif qu’on donne à ce post.

Poster sur Linkedin sans faire d’erreur est tout à fait possible ! Découvrons donc aujourd’hui des étapes incontournables pour y parvenir !

Vérifier et corriger les fautes d’orthographe, conjugaison…

Commençons par la base. LinkedIn est le réseau social professionnel par définition (ou presque). Alors même si dans l’absolu, nous sommes bien d’accord qu’une toute petite faute de frappe ne retire rien aux qualités pros d’une personne, il se trouve que sur Linkedin, une faute d’orthographe ou de conjugaison, comme une faute d’étourderie seront repérées des kilomètres. Alors niveau crédibilité, c’est plutôt moyen. Quand en parallèle, une toute petite faute aura tendance à être ce qui sera retenu d’un post alors que le fond du propos est parfaitement pertinent et plutôt bien amené.

Et même si à l’heure de l’intelligence artificielle et des posts pondus via des prompts automatisés sont légions, une petite faute peut humaniser une publication, autant éviter les petites boulettes de ce type sur ce réseau social.

➡ Pour éviter les déconvenues pour des petites fautes (ou des grosses), il suffit de prendre l’habitude de faire au minimum une relecture de son post avant de publier. Et/ou d’utiliser un correcteur d’orthographe pour s’assurer de la « propreté » de son texte ! 😉

N’oubliez pas de profiter du temps qu’il vous reste si vous programmez un post Linkedin et que vous avez un doute sur d’éventuelles fautes !

Illustrer son propos

Il est évident qu’on évite sur Linkedin les images et photos floues ou pixélisées. On évite les vidéos à rallonge. Il vaut mieux faire simple et efficace que tenter de vouloir trop en faire. Il se trouve que Linkedin autorise plutôt convaincants qui font leurs preuves : Texte, image et texte, carrousel, vidéo… Bref, il y a largement de quoi faire pour tenter d’attirer l’attention. Surtout si on envisage de le faire de manière visuelle. Pas d’excuse !

Pas d’inspiration ? Parcourez les posts qui accrochent votre regard sur votre feed Linkedin. L’idée n’est pas de copier hein, évidemment. Mais de voir ce qui aura réussi à capter votre attention à vous parmi différents posts d’autres personnes. Vous remarquerez assez vite que les posts visuels avec des images et/ou vidéos sont ceux qui ont tendance à fonctionner.

Une fois votre format choisi, n’hésitez pas à customiser votre support image ou vidéo ! Là encore, à l’heure ou des éditeurs comme Canva permettent d’aller loin même avec un budget zéro, pas d’excuse concernant la personnalisation d’un visuel !

Ajoutez votre logo discrètement sur votre visuel ou image, surtout si c’est de vous. Et si vous ajoutez du texte sur votre image, n’oubliez surtout pas de mettre une police de caractères assez grande et d’utiliser un texte dont la couleur sera assez contrastée avec le fond.

💡 En rendant votre contenu visuel super lisible, vous facilitez le taf de votre audience en termes de lectures. S’il faut plisser les yeux et baisser la tête sur le côté pour décrypter votre message, c’est que « les calculs ne sont pas bons Kévin ! ».

Linkedin post

Ne pas négliger l’appel à l’action

Vous l’aurez compris, la forme a de l’importance. Votre post sera probablement noyé parmi des dizaines de fils d’actualité. Elle doit donc attirer l’attention. Mais une fois que vous aurez réussi à retenir le regard attentif de certain(e)s et que votre message sera bien passé, n’hésitez pas à vous rendre service au passage avec un appel à l’action. Si bien entendu c’est un objectif que vous souhaitez atteindre en postant sur LinkedIn !

Le call-to-action (CTA) est simple à proposer puisqu’il suffit entre autres de poser une question de fin de post textuel.

Exemples :

  • “Et vous, quelle est votre méthode ?”
  • “Vous êtes d’accord ?”
  • “Si ce post vous parle, pensez à le partager.”

Vous pouvez aussi tout à fait renvoyer vers un lien qui mène vers votre site internet professionnel 😉

S’entraîner et puis analyser

Rien ne remplace l’expérience. Poster sur LinkedIn, c’est aussi accepter de tester, d’observer, de corriger. Certains posts ne décolleront pas. D’autres surprendront par leur portée.

Ce qui compte, c’est de :

  • Regarder les statistiques (impressions, clics, interactions)
  • Identifier les formats ou sujets qui fonctionnent le mieux sur votre profil (et/ou page entreprise)
  • Adapter votre fréquence de publication (1 à 2 fois/semaine peut suffire)

Le fait de tester et d’adapter ses contenus au terrain de jeu et à son audience est commun à tous les réseaux sociaux. Même si les algorithmes changent régulièrement, une fois qu’on trouve ce qui fonctionne, cela tient sur la durée.

Embaucher un(e) GhostWriter

Aujourd’hui, il existe une réelle demande et une vraie offre concernant le GhostWriting pour LinkedIn. En somme, vous payez une personne dont le job est d’écrire des posts Linkedin pour vous. Sans surprises, il faut que la personne soit déjà un(e) pro de la rédaction, qu’elle comprenne réellement vos enjeux, vos objectifs. Qu’il/elle se mette à votre place en comprenant votre job comme votre secteur d’activité. En apprenant quelle est votre cible…

Oui cela nécessite du budget. Mais quand et/ou si poster sur LinkedIn n’est pas fait pour vous alors que vous avez beaucoup à gagner à le faire, le jeu vaudra la chandelle 😉

Adaptez-vous à votre audience

Si poster sur LinkedIn est nouveau pour vous, commencez simplement. Utilisez le ton et le vocabulaire propre à votre job et à votre activité pro. Commencez par tabler sur ce qui fait le cœur de votre job. Utilisez ce qui fonctionne sur le terrain et faîtes de cette expérience concrète votre force.

N’hésitez pas à jouer sur l’émotion quand cela s’y prête vraiment. Postez sur ce qui vous a ému (première vente, premier job, premier stagiaire….). Ce qui aura fonctionné ! Pourquoi pas aussi ce qui aura été plutôt bof (sans vous tirer une balle dans le pied évidemment).

Bref, faîtes-vous confiance d’abord, faîtes passer vos messages avec passion 😉

Griselidis
Griselidis

Bonjour ! Je suis Griselidis. Webmaster freelance WordPress. Je tiens ce site web depuis mai 2014. Depuis 11 ans déjà, je partage ici des tutoriels et articles pour vous aider à créer votre site web et le faire connaître. Je crée, entretiens et dépanne des sites web.

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